Les derniers rayons

Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ;
Adieu, vive clarté de nos étés trop courts !
J’entends déjà tomber avec des chocs funèbres
Le bois retentissant sur le pavé des cours

Baudelaire -Chant d’automne

 

 

 

 

 

 

Voici le soir charmant, ami du criminel ;
Il vient comme un complice, à pas de loup ; le ciel
Se ferme lentement comme une grande alcôve,
Et l’homme impatient se change en bête fauve.

– Baudelaire

( encore, je sais, mais ma fille est en plein dans les Fleurs du Mal...)

 

 

 

 

 

 

 

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