Je vous propose la suite de mes photos prises dans le centre-ville de Nantes, non loin de la place Graslin et du Bd Guist’hau.
C’est parti pour la balade dans les rues de Nantes.
Rue des Cadeniers
« La rue tient probablement son nom d’une tenue dite « Gaste Deniers ». Il existe plusieurs explications au nom de la rue, dont un dérivé de « cadène » (chaîne), et donc des cadeniers comme étant des fabricants de chaînes.
Bordée exclusivement d’immeubles d’habitation, elle fut l’objet de nombreux projets qui furent présentés au moment de la vente des terrains du quartier entre 1825 et 1840, dont une partie appartenait à la Ville. »
Rue Kléber
« La voie, projetée en 1827, est percée en 1837, sur un terrain où se situaient une corderie et le bois de la Touche » (on sait que le manoir deviendra le futur musée Dobrée dont j’ai parlé ici)
Des gars au travail, par là :
Et dans les arrière-cours, le passé côtoie le présent :
Quand j’ai levé la tête, j’ai remarqué que j’étais surveillée par une présence féline…
Il fait chaud. Très chaud, même pour la saison (27 ° aujourd’hui !). Les plantes souffrent de la sécheresse. Les orages sont même annoncés pour cet après-midi, mais je ne vois rien.
Hier, après avoir rendu visite à la bibliothèque, nous avons fait une promenade dans le parc et donc, des photos. Résumé en images.
La longère ( dont j’ai aussi parlé ici )toujours fleurie
On entrevoit la médiathèque en arrière-plan
Gros plan sur la bourrache
Quelqu’un se concentre :
Et ça butine sur les lupins :
Toujours les lupins (ni Arsène, ni Remus — désolée pour ça )
Plus loin dans le parc :
En sortant du parc, dans une haie, une libellule :
Le point sur la libellule :
Nous étions observées….
Loki aime jouer. Certes, il est encore jeune (2 ans fin juin) mais je crois que c’est dans sa nature. Et il est vif. Il aime particulièrement ce jouet qu’il réclame à une seule personne ; JB. Je peux toujours agiter le jouet, il s’en contrefiche. Sinon, Loki a la particularité de faire comme les chiens : il rapporte les jouets qu’on lui lance. Mais à ce sujet, je n’ai pas de vidéos ; il faut me croire sur parole.
Jb, Loki et le jouet, première !
Et deuxième partie : une fois que Loki a bien mis le bazar sur le canapé, protégé par des plaids « anti-poils de chats » (plus ou inutiles, mais on ne sait jamais), le chat bondit. En général, Loki bondit beaucoup… (même sur le haut des portes !)
« Le Musée Départemental Thomas-Dobrée, couramment appelé Musée Dobrée, est situé dans le centre-ville de Nantes, dans le quartier Graslin, à proximité du Muséum d’histoire naturelle et du cours Cambronne. Entre 1862 et 1895, l’armateur et collectionneur Thomas Dobrée (1810-1895) construit un édifice néo-médiéval ayant une double fonction: lieu de résidence et espace d’exposition de ses collections. Lorsqu’il achète la parcelle, celle-ci comprend déjà le manoir épiscopal de la Touche érigé au XVe siècle. Décédé en 1895, Dobrée ne verra jamais « le palais » achevé. En 1972, un troisième bâtiment est construit sur la parcelle, le « bâtiment Voltaire » héberge entre autres, les réserves du musée. »
Comme par hasard, j’ai des photos du « Palais » Dobrée — rien du Manoir de la Touche. Et en ce moment, le lieu est en travaux – et ça dure, ça dure… J’espère un jour pouvoir retourner dans ce joli musée. La dernière fois, j’y étais allée avec ma fille alors très jeune (en 2009 ou 2010 sans doute) qui avait apprécié. Les travaux ont ensuite débuté. Le musée est toujours fermé sans doute jusqu’en 2023. C’est vraiment long. On peut voir sur ce site ce que donnera le futur musée
Voilà un aperçu – avec le petit manoir
Les autres photos ont été prises juste avant le 1er confinement, en 2020. Je les avais totalement oubliées, à cause du COVID. De son vivant, Thomas Dobrée appelait son manoir : « maison romane » ou « manoir des Irlandais » mais jamais « palais ». C’est la presse qui lui a donné ce nom par la suite.
Le manoir des Irlandais est décoré de nombreuses sculptures (ours, hiboux), Thomas Dobrée avait lui-même dessiné le bestiaire qui orne les façades.
Face au musée, dans le prolongement de la rue Hippolyte Durand-Gasselin, se trouve le dispensaire antituberculeux édifié entre 1903 et 1906 sur les plans de l’architecte René Menard.
Deux séries de photos assez différentes. En 1er, j’ai pris rapidement des photos de l’orage assez incroyable (et terrifiant), accompagné de pluie et de grêle, le 24 avril. Oui, juste le jour des élections…
J’ai filmé un peu – pas longtemps, parce que j’essayais de rentrer mes plantes menacées de se faire noyer ou hacher menu par la grêle :
Après le déluge, je regarde par la fenêtre, et je vois que ça déborde !
Après tout ça, j’ai eu peur qu’on soit à nouveau inondé dans l’appartement… Non, il ne pleuvait pas à l’intérieur (c’est déjà arrivé, malheureusement). Mais le plafond reste à surveiller.
Une note plus gaie, avec des photos ensoleillées et le duo félin qui en a profité
D’ailleurs, alors que je faisais des photos de Galice, très belle dans le soleil….
….j’ai eu la surprise de voir ceci : Loki en mode « c‘est urgent, laissez passer »
Dans le quartier Graslin – qui doit son nom au théâtre – on peut photographier pas mal de jolies choses.
Sur la place (Graslin, donc), la Cigale, cette célèbre brasserie Art Nouveau est classée aux Monuments Historiques.
Comme on peut le voir, la place est maintenant totalement réservée aux piétons et aux vélos. Je dis ça parce que je l’ai connue ouverte à la circulation. J’ai même conduit avec l’auto-école quand je prenais des leçons dans les rues du centre-ville…. Heu, c’était il y a plus de 30 ans et les embouteillages n’étaient pas sympas du tout. Par contre, ça manque toujours de verdure.
J’ai déjà parlé du théâtre mais c’est toujours un plaisir de le photographier.
Depuis l’une des rues (rue Voltaire), on aperçoit le théâtre :
Et si on se retourne, voilà ce qu’on voit :
Il s’agit d’un ancien hôtel particulier, celui de Mme; Say.
« Au 4 de la rue Voltaire se trouve l’ancien hôtel particulier de Mme Say, construit en 1859 par Joseph-Fleury Chenantais. La façade, légèrement en retrait, offre une décoration éclectique, avec des colonnes à chapiteaux et un fronton. L’hôtel est occupé de 1900 à 1926 par les salons Turcaud, célèbre traiteur nantais qui y aménage un établissement de réceptions pour cérémonies mondaines et banquets, et une salle de bal. En 1926, il devient le siège du Crédit nantais puis le siège d’une agence bancaire du groupe CIC. Depuis 2019, une plateforme proposant location de bureaux et salles événementielles pour startups occupe les lieux . » (source)
Le (très) beau temps est propice aux balades, lorsque c’est possible. Voilà quelques vues d’un soir de printemps très doux.
Superbes couleurs
Une aile !
La lune au-dessus du toit
On a cru que le sable revenait, avec ce ciel :
C’est donc Pâques et même si je « ne fête pas », cette année par pure coïncidence, une partie de ma famille (mon frère) sera réunie. Du moins, les plus vieux, les « parents » et une ado, ma plus jeune nièce. L’occasion est trop belle et tout à fait propice, d’ailleurs puisque j’ai trouvé quelques photos de ma fille alors toute jeune, 7 ou 8 ans, à Pâques, en région parisienne avec une poule fabriquée à l’école primaire.
Plus de poule dorénavant mais j’ai réussi à prendre en photo l’un de ses tatouages (elle en a 4, en tout). J’ai un tatouage au même endroit (mais pas une méduse).
Passons au sujet qui fâche et qui divise ici en France. Je veux parler (gros soupir) de l’élection présidentielle.
J’ai d’ailleurs travaillé à la préparation des enveloppes destinées aux électeurs et électrices de Loire-Atlantique pour le premier tour : 12 candidats, ça fait un travail de dingue, je peux confirmer. Mettre sous enveloppe dans un entrepôt glacé, ça n’a pas été une partie de plaisir.
Et le 24 avril, on y retourne, pour choisir entre Macron ou Le Pen. Un goût amer de déjà-vu et de ras-le-bol.
Je vais finir avec une note féline sur ces quelques photos de chats. En commençant par Galice de profil :
Loki qui pose
Et un chat près de chez nous dans les bras de JB
Et bientôt, d’autres photos, bien sûr.
Récemment, j’ai retrouvé tout un dossier contenant des photos datant de 2008/2009 : mes premières photos en numérique, avec un petit Coolpix. J’en avais déjà, bien sûr, mais …pas celles-ci.
Elles ont été prises en mai 2009, alors que j’habitais en région parisienne, et que que nous avions passé une journée au musée du Louvre, à Paris, ma fille (qui n’avait pas encore 8 ans) et moi, surtout dans le département des antiquités égyptiennes.
(– la qualité des photos n’est pas celle des appareils ni même des téléphones portables actuels, bien sûr –)
Pectoral au nom de Pinedjem Ier
La déesse Hathor
On retrouve des représentations similaires en Egypte à Dar (deir) El Bahari au temple funéraire
(mon voyage date de 1999 et les photos sont encore sur papier mais ça donne ça)
sphinx
sarcophage de chat
Date de création/fabrication : Basse Époque (attribution d’après style) (-664 – -332)
Akhenaton
Statue de babouin
Statue de Nakhtorheb agenouillée, époque Saite (quartzite)
— je me disais qu’il avait l’air bien aimable, ce monsieur…. —
Mon reflet capté dans la vitrine pendant que je photographiais les momies des chats
Ailleurs que dans les antiquités égyptiennes:
Mercure
Les trois Grâces
Le retour et une petite fille qui avait apprécié sa visite !
Alors qu’il faisait beau, ensoleillé et même un peu chaud (ce qui n’est plus le cas, avec même de la neige fondue, hier), j’ai réussi à photographier les oiseaux du dans le jardin de ma maman. Pas toujours facile parce que même s’ils viennent en grand nombre manger les graines juste devant les fenêtres du salon, dès qu’on sort l’appareil-photo, ils se cachent, les malins ! (je pense qu’ils voient l’objectif et se méfient du mouvement des affreux humains).
Voilà donc ce que j’ai pu capter : pas de mésanges mais le pinson ( Fringilla coelebs ) est bien présent.
Le rouge-gorge (Erithacus rubecula) est resté très discret.
Par contre, la tourterelle est restée bien en vue. Et puis, elle est quand même plus imposante.